Soumission En Vacances 6 - LÉpreuve Des 4 Éléments
Partie 6 Lépreuve des 4 éléments
Avec Léa partie, je pouvais enfin lever la tête et prendre conscience de mon environnement. Déjà, jétais solidement attaché au cadre du lit. Impossible de me dégager de là de toute évidence. Dans mon cul était planté le plug dont elle sétait déjà servie plus dune fois pour me r. Dehors, il faisait grand soleil, et en tendant loreille je pouvais entre du grabuge sur la terrasse sous la fenêtre de la chambre.
De toute évidence, la première de mes épreuves se passeraient à lextérieur. Ne pouvant pas en savoir plus, jen profita pour me reposer en attendant larrivée de Léa. Et après leffort au réveil, je sombrais sans men rendre compte dans la somnolence, puis carrément le sommeil.
Je fus réveillé sec par un coup de cravache sur mes testicules.
- « Ah bin ça va je vois que tu te détends pendant que je mactive pour toi !
- Pardon maitresse
- Décidément tu ne perds vraiment rien pour attendre. Javais peur dy être aller fort mais ça me rassure, tu le mérites. »
Javais peut-être à nouveau fait une connerie. Deux en une matinée ou elle était déjà joueuse à la base, cétait un risque. Et je compris ma troisième erreur dans la minute qui suivi.
Elle avait revêtu une tenue particulièrement excitante : ses bottes en cuir de domina, des bas noirs élégants avec un filagramme rouge mi-cuisse, un porte-jarretelle en dentelle rouge et noir, un ensemble shorty-string et bustier en dentelle noir et ses gants rouges. Avec son éternel tresse, signe quelle comptait men faire baver.
Elle portait tout cette tenue merveilleusement excitante
Et je ne lavais même pas remarqué. Enfin si javais remarqué mais je ne lui avais rien dit, et je pouvais voir sur son visage quelle en était vexée.
- « Vous êtes magnifique maîtresse.
- Ça arrive un peu tard lèche-cul
si tu crois que ça va te faire gagner de la clémence tu peux tassoir dessus.
Eh merde
Elle menferma le sexe dans ma cage de chasteté sans délicatesse. Le thème de la matinée était annoncé : fun pour elle, souffrance et frustration pour moi. Elle brancha la pompe du plus quelle mavait planté dans le cul pendant son cunnilingus et lactiva 3 fois pour le faire grossir.
Elle reprit progressivement de la bonne humeur en me manipulant et finit par me détacher en souriant.
Quoi, cétait juste ça ?
Elle me jeta un sac rempli daffaire divers et me lança un « prépares toi et rejoins moi sur la terrasse » avant de sortir de la chambre.
Jouvris le sac après son départ et commença à méquiper :
Dabord, 2 bracelet en cuir molletonné pour les mains, 2 pour les pieds. Ils étaient assez épais et confortable ce qui me rassura sur le bondage potentiel de la matinée. Ensuite, un collier en cuir avec une laisse accrochée. Enfin, un ring-gag qui me gardait la bouche grande ouverte.
Jenfila lensemble des accessoires prévus par ma maîtresse pour la séance du matin et sorti sur la terrasse. Je me sentais bien ridicule avec ma bouche grande ouverte et un petit filet de bave en coin, mais pas le choix.
Je me pris un coup sec de cravache sur le cul qui me fit grogner.
- « Quest-ce que tu fais debout ? tu te promènes à 4 pattes quand tu as un collier de chien »
Bien vu
jobtempérais en me disant que décidément, jenchainais les erreurs ce matin.
- « Donne-moi ta laisse, je vais pas la ramasser par terre quand même. »
Je lui tendis ma laisse mais au lieu de lattr, elle me donna un nouveau coup de cravache sur le cul, sans aucune retenue.
- « Tu as déjà vu un chien tendre sa laisse comme ça ? tu la prends dans ta bouche et tu me la porte. »
Nouvel ordre, nouvelle erreur. Au lieu dun sans-faute, je visais le sans-réussite apparemment.
Je lui tendis la laisse en équilibre instable dans ma bouche ouverte.
Elle avait tout dabord amené le porte parasol au milieu du jardin, espace découvert qui devait faire pas loin dun hectare. Le porte parasol en question était une sorte de potence en métal forgé avec un anneau rotatif au bout du bras qui porte normalement la toile du parasol. Pour loccasion, la toile avait été enlevée. En dessous était posé un petit tabouret à côté dune chaise. Un tout petit peu plus loin on trouvait un transat du bord de piscine avec un assortiment hétéroclite dobjets entreposés en dessous.
Lorsque lon arriva devant le petit tabouret Léa me fit me relever. Puis, elle enleva la laisse et minvita à monter sur le tabouret. Quant à elle, elle grimpa sur la chaise à côté, me pris les mains, attacha mes deux bracelets en cuir ensemble et vint ensuite les passer dans le crochet du porte parasol.
Pendant ce manège, javais une vue directe sur sa poitrine et javoue que jétais plus occupée à la reluquer quà regarder ce quelle faisait. Ça eut pour conséquence de me mettre bien à létroit dans ma ceinture de chasteté, ce quelle vit rapidement et qui la fit sourire.
Elle me prit le menton pour me faire la regarder dans les yeux.
- « Fab jai besoin que tu te concentres une seconde daccord ?
-
- Écoute-moi bien. Dans les vidéos dont tu es fan et quon a regardé ensemble, il y a un système de communication entre soumis bâillonné et dominant, tu te souviens ? »
Je hochais la tête.
- « Montres le moi. »
Je donnais rapidement 3 coups de têtes bien marqué de gauche à droite.
- « Très bien. Nous allons utiliser ce signal entre nous daccord poussin. Si notre jeu devient trop intense, fais ce signe et jarrêterais pour voir comment tu vas, daccord ? »
Je hochais la tête en essayant davoir lair sur de moi mais je nétais pas rassuré du tout.
De tous les jeux que nous avions eus jusque-là, elle navait jamais ressenti le besoin de me fournir un code pour arrêter. Aujourdhui, elle insistait dessus.
Pendant que jétais perdu dans mes pensées à essayer danticiper ce qui allait marriver, elle activait la moulinette du porte parasol qui servait à faire monter la toile. En quelques secondes, jétais suspendu par les poignets attachés, les jambes dans le vide. Heureusement, cétait une position pas trop inconfortable avec les bracelet épais et molletonnés.
Elle mattacha les jambes entre elles avec une corde au niveau des chevilles et les immobilisa en position repliées avec une seconde corde. Enfin, elle attacha une petite cordelette à mes gros orteils de chaque pied quelle tendit au maximum avec celle qui me maintenait les jambes repliées. Javais donc les genoux vers le bas et les pieds collés entre eux et tendus à plat un peu en dessous de mes fesses.
Elle alla sinstaller dans le transat et mobserva pour juger son travail, lair satisfait. Avec le vent léger, je tournais tout doucement sur moi-même ce qui lui permit de mobserver sur toutes les coutures sans avoir à se lever. Quand je me retrouvai dos à elle, je lentendis fouiller dans le fourbis sous son transat. Quand je basculais face à elle, Léa était allongée dans le transat, les cuisses écartées, à me regarder dun air extrêmement satisfait. Et là, enfin, elle mexpliqua son plan.
- « Je te dois 4 gages, jai choisi de me baser sur le thème des 4 éléments. Tu comprends ? »
Non, pour le coup je comprends pas. Cest de la poésie ou du BDSM ?
- « Tant mieux ça ne métonne pas
Tu comprendras bien vite. »
Elle se leva, récupéra sous le transat une grosse pierre accrochée à une chaine quelle vint suspendre à lanneau de ma cage qui enserrait mes couilles. Aïe, cétait bien tendu.
Une pierre. Lélément Terre. Ok, je commençais à vaguement comprendre le concept.
Elle sinstalla sur la chaise qui était resté près de moi, mais avec ma rotation sur moi-même je la perdis de vue.
Après 3-4 tours sur moi-même, javais les fesses et le torse rougis et je gémissais sans discontinuité. Elle grimpa sur sa chaise pour me caresser le visage.
- « Bah alors poussin, ne me dit pas que tu es déjà fatigué quand même
-
- On a à peine commencé »
Petit clin dil, et cest reparti.
Elle retourne au transat, me regarde dans les yeux et attends. De mon côté, jessaye de voir à quelle sauce je vais être mangé mais elle ne fait rien. Puis, quand la rotation la sort de mon champ de vision, elle sactive. Jaurais voulu me débattre pour accélérer la rotation mais avec la pierre attachée à mes bourses, impossible sans donner des à-coups que je ne pensais pas pouvoir supporter. Donc je patientais, me passant 1000 scénarios dans la tête
Je la senti derrière moi à me caresser les fesses du bout des ongles.
- « Tu as lair davoir chaud quand même mon poussin »
Cest vrai quavec son terrain de jeu au grand air, on était sous le soleil qui commençait à taper fort. Ça plus la peur et la douleur de la passée, mon corps était entièrement recouvert dune fine pellicule de transpiration. Peut-être était-ce ça lépreuve du feu ?
- « Attends, je vais te rafraichir ça ira mieux »
Avec un peu de chance, lépreuve de leau consistait uniquement à marroser avec le jet. Ça pouvait être un peu stressant étant complètement attaché et bouche grande ouverte, mais pas insurmontable
Mais à ma grande surprise, elle commença par me retirer mon plug. Quest-ce quelle comptait faire au juste ? Je commençais à prendre peur, cétait terriblement stressant de la sentir sactiver derrière moi sans savoir quelle allait être ma prochaine .
Et là, je sentis le froid me mordre la rondelle encore entre-ouverte et je compris : des glaçons. Non elle ne va pas faire ça quand même ? Et avant davoir le temps de faire ou dire quoique ce soit je sentis un cube glacé se faire enfoncer dans mon fondement.
Je criais. Me débattais sans me soucier de la pierre suspendue à mes couilles, tellement même quelle tomba au sol. Jessayais de négocier, de la supplier, ce qui sortait comme un gargouillement incompréhensible à travers ma bouche figée en position ouverte. Mais elle restait intransigeante et, un à un, elle me fourrait de glace.
Après un nombre que jétais incapable de donner, elle sarrêta. Javais un petit filet deau qui coulait de lanus sans discontinuité, une sensation peu claire dans le fondement qui oscillait entre froid et chaud (la morsure de la glace donnait une sensation de chaleur par vague). Javais arrêté de me débattre, je gémissais sans discontinuité avec un filet de bave qui me coulait de la bouche sur le torse, puis au sol.
Je pensais avoir une opportunité pour les éjecter dès quelle entra dans mon champ de vision. Malheureusement, avec le froid jétais tétanisé et je narrivais pas à ouvrir lanus suffisamment pour éjecter un seul glaçon. De toute façon, elle ne men laissa pas le temps. Elle me glissa une poignée de glaçon qui lui restait dans ma bouche ouverte et me montra un spéculum et une bougie :
- « Cest bien mon chéri, je suis tellement fière de toi
tu y es presque ».
Presque ? Quest-ce quelle comptait faire avec ça ? Mon cerveau tournait au ralenti.
- « Il ne te reste plus que lépreuve du feu. »
Elle hésita, puis reprit.
- « Et vu que tu tes débarrassé de ton épreuve de la terre, je devrais peut-être te trouver une solution de substitution
On verra ça tout à lheure à la pause. »
Quelle pause ??!
Je ne pouvais malheureusement rien dire et me contentais de gémir, de toute façon cest tout ce que jarrivais encore à faire. Elle membrassa au coin des lèvres, me caressa le torse, et ressorti de mon champ de vision.
Je senti un gel froid contre mon anus, puis linsertion dun objet métallique qui venait pousser les glaçons plus loin dans mon fondement : elle mavait inséré le spéculum. Puis je le senti sentrouvrir et, avant que de leau ne commence à couler, quelque chose fut introduit dedans et une nouvelle fois aujourdhui, je compris ce quelle comptait faire et pris peur
La bougie. Dans mon cul. Lépreuve du feu.
Et là, un gémissement plus fort que les autres, couplés à un gargouillement de leau qui sécoulait de ma gorge et elle comprit que javais compris. Jentendis un bruit de briquet, elle passa devant moi me sécher une larme et déposer un baiser sur le bout de ma cage de chasteté, me donna un petit à-coup pour lancer ma rotation et sinstalla dans le transat.
Lorsquon se retrouva à nouveau face à face, je la trouvais allongée à me regarder droit dans les yeux, la main dans son shorty en train de sactiver, la bouge entre-ouverte dans une position de plaisir. Et je sentis la première goutte de cire. Je gémis, complètement écartelé entre la sensation de froid dans mon cul et de chaud sur mes pieds. Je compris pourquoi elle mavait attaché les jambes relevées, elle avait prévu ça depuis le début.
A chacun de mes cris, elle gémissait un peu plus fort. Elle sortait régulièrement de mon champ de vision et devais avoir une vue imprenable sur mon cul occupé, sur la cire sur la plante de mes pieds, qui ne la laissait pas indifférente.
Jétais complètement démunis. Le filet de bave, le cul rempli et bouché par une bougie, les gémissements... je pouvais voir à quel point ça lexcitait. Après quelques tours, je commençais à faiblir. Plus de gémissements, les glaçons avaient complètement fondu, la bougie sétait éteinte.
Léa avait enlevé son shorty avant de remettre délicatement les attaches de son porte-jarretelles. Après plusieurs minutes à me regarder sans rien dire, elle se leva et sapprocha de moi.
- « Bon mon chou, il est temps de faire une pause »
Je me mis à pleurer doucement. De satisfaction darrêter, même temporairement ? de savoir quil allait falloir reprendre ? ou simplement les nerfs ? probablement tout ça oui. Jétais dans un autre monde.
Elle me détacha les jambes et me fit descendre doucement en équilibre sur le tabouret. Elle messuya délicatement la commissure des lèvres, joua du bout des doigts avec la bave qui avait coulée sur mon torse et pris la parole.
- « Arrête ton cinéma. Tu peux me faire arrêter quand tu veux et tu le sais. Tu veux être là, tu veux me donner du plaisir. Et en échange, tu sais que je vais ten donner. »
Elle exposait ces vérités sur un ton ferme, même si toute sa gestuelle était pleine dencouragement et de compassion. Je hochais la tête, ayant un peu repris du poil de la bête.
- « Bon voilà le deal que je vais te faire. Je vais encore jouer un peu avec toi. Si tu jouis sans ma permission, on reprendra pour lacte 2. Si tu résistes pendant 10 minutes, on passera lacte 2 et on aura fini pour lépreuve de la matinée
tu es daccord ?
Nouveau hochement de tête de ma part.
Elle commença par menlever ma cage de chasteté. Elle sapprêtait à menlever le speculum que javais planté dans le cul quand elle releva la tête comme si elle venait davoir une idée.
- « Autre chose : si tu libères une goutte deau quil y a dans ton cul sans mon autorisation, je te punis encore plus fort pour lacte 2 cest clair ? ».
Et elle me retira le spéculum dun coup avant de commencer à me branler. Je compris tout de suite que cétait un combat perdu davance. Elle sappliquait beaucoup trop, me donnais de petit coup de langue sur le gland, gémissait, me caressait les bourses
Elle voulait me faire basculer et ça se voyait clairement dans ces yeux espiègles. Elle avait installé sur le siège à côté delle un timer sur son portable, je pouvais voir clairement le temps sécouler au ralenti pour ma plus grande frustration. Enfin frustration nétait probablement pas le bon mot vu ma situation actuelle.
Elle avait dit 10 minutes. Au bout de 4, je nen pouvais plus. Jai dabord cru que me concentrer sur leau dans mon cul allait me permettre de tenir, mais ma retenue devint naturelle et je me retrouvai vite à navoir que sa masturbation sur laquelle me concentrer.
Lorsquelle vit que jétais sur la fin, elle accéléra. Elle me regardait droit dans les yeux avec un air extrêmement concentré : elle cachait quelque chose. Lorsque je fus sur le point de jouir, elle arrêta sec. Je grognais frustrer, mais satisfait : lhorloge passait à 5 minutes. Mais elle reprit et à nouveau, au bord de lorgasme, elle mamena un tout petit peu plus loin avant darrêter. Elle recommença son petit manège une troisième fois mais là, elle trouva le point exact : au moment où elle sarrêta, javais passé la barrière mais pas assez. Je sentis donc mon pénis se contracter, je me sentis éjaculer mais nen tira aucun plaisir. En plus de ça, au moment de lorgasme (qui nen était pas un), jai perdu le contrôle de mon sphincter et un jet deau séchappa de mon cul sans discontinuer.
Jétais penaud, je gémissais, essayait de me débarrasser de mes attaches. Léa avait un sourire moqueur, me donna une tape sur la bite encore dressée avant de me réprimander :
- « Tu as finis de couiner oui ? je tai donné une chance, cest déjà bien. Non seulement tu nas pas réussi à la saisir, mais tu as brisé les deux règles que javais fixé. Je vais donc bien profiter du deuxième acte tu peux me croire ! »
Et en ignorant mes grognements elle commença par me bander les yeux dun masque noir qui ne laissait passer aucune lumière. Elle mattacha ensuite une barre décartement et méleva à nouveau pour que je sois suspendu par les bras.
Lacte 2 allait commencer.
Léa commença par me passer un cockring double qui prenait le pénis et les testicules séparément, puis le mis à vibrer. Apparemment, elle ne voulait pas perdre mon érection. Puis, elle menfonça à nouveau le spéculum dans mon anus. Seulement cette fois, elle lécarta et nen boucha pas lentrée. Je pouvais sentir lair sengouffrer dans mon fondement
lair, on était à nouveau sur ces saletés déléments.
Jeu soudain une réalisation, en lentendant saffairer autour de moi. Elle savait depuis le début que je ne résisterais pas son épreuve intermédiaire. Elle avait tout prévu, même de me donner lespoir que ça sarrête de manière anticipée
Elle était rentrée dans ce rôle de dominatrice pour répondre à mon fantasme mais dans le fond, elle sy plaisait peut-être plus que moi.
Sur ces réflexions, je lentendis partir en direction de la forêt en bordure du terrain de jeu. Javais chaud sous le soleil qui tapait de plus en plus fort, jétais à nouveau recouvert dune pellicule de transpiration. Je sentais le vent sinviter dans ma bouche grande ouverte, dans mon fondement. Jen déduis, plein despoir, que si le thème de la phase 2 était toujours sa connerie des 4 éléments, au moins jen avais déjà éliminé 2.
Je la senti soudain me caresser les fesses : elle était revenue. Elle me déposa un baiser sur le bout de la bite, puis elle séloigna et jentendis le bruit du tuyau darrosage qui se faisait dérouler. Je fus soudain rassuré : se faire arroser nétait pas trop désagréable comme traitement et au moins jaurais moins chaud.
Cependant, à ma grande surprise, je ne recevais pas deau
Quest-ce quelle pouvait bien être en train de préparer ? Elle mattacha différentes lanières autour de la taille et des cuisses, avec un contrepoids au niveau de mes fesses. Jétais paumé. Ça ressemblait à un gode ceinture, mais quelle maurait mis à lenvers ! Et puis je pris conscience dune chose : je ne sentais plus dair sengouffrer dans le spéculum. Je compris ce quelle comptait faire. Je me mis à me débattre et à gémir, à essayer denlever mon masque, mon bâillon, mes attaches, tout quoi ! Mais tout était solidement attaché et rien ne bougea.
- « Tout vas bien mon chou, ce sera bientôt fini et tu seras tout propre ».
Et elle ouvrit légèrement le robinet du tuyau darrosage. Je sentis un filet deau envahir mon fondement sans discontinuer et sécouler au fur à mesure. Cétait terrible comme sensation, indescriptible. Privé de ma vue, je ne pouvais me concentrer que là-dessus. Seulement elle navait pas fini. Je la senti frotter des feuilles contre mon cul et entre mes bourses et mon anus.
Zone qui se mit soudain à chauffer. Beaucoup. A me démanger. Comme si jétais passé dans
Non elle na pas fait ça. Des orties. Non. Ah la salope ! Merde elle venait de me frotter le cul avec des orties. Son sadisme était devenu hors de contrôle. Elle me caressa les fesses du bout des doigts et je me mis à crier sans discontinuité dans mon bâillon. Jétais envahi par des sentiments paradoxaux qui se résumé en deux catégories : cétait trop et je ne veux pas arrêter si près du but. Donc je me débattais et criais, mais je refusais de faire mon signal dalerte. Elle dû le ressentir car elle monta sur la chaise pour me chuchoter à loreille en membrassant partout :
- « Tu es si près du but je suis tellement fière de toi
Fais-moi jouir et tout sarrête. »
Là-dessus, elle enfonça dans ma bouche ouvert un objet que je reconnus plus tard être le plug lavé, désinfecté et parfumé avant de le gonfler pour mes cris. Puis, elle me fit tourner sur moi-même et séloigna.
La faire jouir, elle est marrante mais comment ?? De toute façon entre linconfort dans mon cul, mes fesses qui me brulent, mon corps qui chauffe, le vent, les effets de la phase précédente, je ne pouvais rien faire. Paradoxalement, javais une érection monstrueuse dans mon cockring vibrant.
Je lentendis gémir par-dessus le bruit du tuyau darrosage et mes couinements étouffé. Elle avait recommencé à se masturber. Et à entendre ses cris, ma position lexcitait énormément. Elle me faisait des commentaires. Mencourageait. Se moquait par moment aussi. Et après 5 minutes de ce traitement, je lentendis jouir sur un :
- « Vas-y Fab, tu es à moi, je fais ce que je veux de toi, souffres pour ta maitresse »
etc
Elle avait joui.
Je sentis soudain leau sarrêter de couler. On entendait plus que mes cris étouffés et mes pleurs. Je me sentis descendre doucement jusquà avoir les pieds au sol, qui de toute façon ne me portaient pas. Je la sentis comme dans une transe mappliquer une pommade sur mes zones en feu pour apaiser les douleurs. Leffet fut instantané et je poussais un long soupir de soulagement. Elle me libéra du plug, du bâillon et de la barre décartement. Elle me massa les fesses une deuxième fois mais tous les effets des orties avaient déjà disparu. Elle me détacha les mains pour me les rattacher dans le dos et me fis massoir sur le tabouret. Il ne me restait plus que mon cockring qui maintenait mon érection, mon bandeau, mon collier avec ma laisse et mes menottes en cuir.
- « Il te reste une épreuve tu sais
»
Je ne compris pas tout de suite. Quest-ce quelle allait encore me faire ?? Et puis javais limpression den avoir subi 1000 des épreuves. Cela dit, en y repensant, il y avait bien eu 3 épreuves : la phase 1, le test pour déterminé si on continuait (qui était une épreuve en elle-même puisque le jeu était truqué pour que je perde) et la phase 2.
Javais peur. Je nosais pas bouger. Jallais devoir lui demander darrêter si elle attaquait à nouveau comme ce quelle venait de me faire subir. Je sentis un à-coup sur ma laisse.
- « Suis moi
»
Je la suivais en silence, nosant pas la supplier de mépargner cette dernière épreuve. On ne marcha pas bien longtemps mais chaque pas était mal assuré, je tâtonnais du bout du pied pour être sûr de ne pas métalé
Être privé de ma vue dans ce contexte était déjà une à part entière. On finit par sarrêter. Jattendais, tendu comme un « i », de savoir ce qui allait marriver. Puis elle enleva mon masque.
Je clignais des yeux en accélérer pour mhabi à la lumière, comprendre au plus vite mon environnement. Elle était juste devant mon, assise sur le bord du transat. Elle était penchée en arrière, les cuisses écartées, se tenant en équilibre sur ses coudes, la tête relevée, la tresse tombant entre ces seins. Elle ne portait plus que ses bottes, ses bas, son porte-jarretelles et ses longs gants.
- « Tu as bien mérité un peu de répit » me dit-elle, « ta dernière épreuve est simplement de me faire jouir »
Jétais abasourdi. Après tous ces traitements, mon cerveau fonctionnait en mode sans échec. Et là, clairement, on était face à une situation quil narrivait pas à compiler.
- « Tu as peut-être besoin que je te montre comment faire ? Parce que lautre option cest que je relance un peu de et je me débrouille moi-même en te regardant te débattre tu sais
»
Là, face à la menace, mon cerveau se mis à calculer à grande vitesse. Je magenouillais et me glissait en elle sans le moindre effort. Elle poussa un long soupir et dune injonction mordonna darrêter de bouger. Elle savança pour senfoncer au maximum et sentir la partie vibrante de mon cockring contre son clitoris. Elle posait son pied contre mon épaule et, dune poussé progressive, marqua le rythme pour que je sorte doucement delle. Lorsque le contact avec son pied fut rompu, elle tira sur ma laisse et je menfonçai à nouveau en elle. Puis on recommença ce manège.
Avec son alternance pied/laisse elle fixait le rythme, mais cétait moi qui faisait le travail. Cétait terriblement excitant. Elle me regarda droit dans les yeux et me tira jusquà ce que mon visage soit à quelques millimètres du sien. Nos sexes étaient collés et vibrant lun contre lautre. Elle me tenait par le cou en serrant très légèrement et haletait à quelques millimètres de ma bouche. Je crevais denvie de lembrasser et elle le savait.
- « Je ne pensais pas que jarriverais à te dompter aussi facilement ».
Juste ça, entre 2 soupirs. Après toute les s que je venais subir, cette réalisation faisait mal : depuis quand jétais un animal docile moi ? Elle savait que jétais autant attiré par la domination que la soumission, que je nétais pas un soumis dans lâme, « oui-maitresse-merci-maitresse » à me faire écraser les couilles sans aucune compensation 3 fois par jours dimanche compris.
Dans le fond, je ne ressentais presque rien des 2h de s de la matinée. Elle a joué avec mon mental encore plus que mon corps. Et là, elle madressait une ultime provocation visant à éprouver mon statut de soumis occasionnel ou à me faire basculer psychologiquement dans une position de soumis total. Javais une poussée de fierté et une envie de rébellion qui poussait en moi à la dernière seconde.
Je vis son regard changé. Elle avait dû voir dans mes yeux mon épiphanie davant lorgasme.
Je dégageais son pied dun coup dépaule et me mis à la pilonner aussi fort que possible. Avec la surprise, elle neut pas le temps de se dégager ou de reprendre le contrôle avant dêtre embarquée dans son orgasme, suivie de près par moi.
Je venais de lui voler sa jouissance. Javais survécu au 4 épreuves, en avait tiré du plaisir puisque cet orgasme, je dois bien lavouer, était comparable à perdre le contrôle dans une vague déferlante. Javais bu la tasse, et elle aussi.
Lorsque les premières vagues de plaisir furent passer et que les dernières, plus diffuses, sécoulaient lentement, je lu de la surprise dans ses yeux. Apparemment, elle pensait vraiment mavoir maté.
Puis, je pu lire de la satisfaction.
- « Dans le fond, jespérais que ça ne soit pas aussi facile. »
A suivre
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